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La profession, Les droits et intérêts des Kinésithérapeutes

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QUI SOMMES NOUS?

Alizé est un syndicat qui depuis sa création défend l'ensemble des masseurs-kinésithérapeutes quel que soit leur statut libéral, salarié ou étudiant. C'est un syndicat récent, fondé sur les principes de la démocratie participative et du non cumul des mandats. Nos équipes de de bénévoles mettent, chaque jour, toute leur énergie au service de la valorisation de notre profession, de la considération de nos confrères ainsi que de la qualité des soins délivrés à nos patients. Des défis majeurs attendent notre profession dans un avenir proche, il est primordial de construire ensemble dès aujourd'hui la kinésithérapie de demain.

Nous travaillons actuellement à parfaire notre maillage régional afin d"être présents au plus près de vous.

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NOS MISSIONS

Les objectifs principaux d’Alizé sont la défense des intérêts matériels et moraux, collectifs et individuels, des masseurs-kinésithérapeutes, physiothérapeutes et des cadres issus des filières précitées. La défense de la liberté, du droit du travail et d'exercice et la sauvegarde des masseurs-kinésithérapeutes, kinésithérapeutes, physiothérapeutes et des cadres des mêmes filières. La mise en oeuvre des possibilités ouvertes par l’article L 411-18 du Code du travail, le dialogue avec les autres professions de santé, les questions relatives à la formation, la formation continue et des compétences de ces professionnels. Et, plus généralement d’exercer toutes activités liées à l’information professionnelle.

Alizé défend l’universitarisation de la profession en demandant l’accès au Master2, puis aux écoles doctorales. Alizé propose de fait que des thérapeutiques telles que la thérapie manuelle, la rééducation périnéo-sphinctérienne ou la rééducation vestibulaire entre autres, soient accessibles par le biais de l’université sous la forme de doctorats. L'objectif final étant la création d'une filière universitaire en Rééducation avec la création d'écoles doctorales et de laboratoires de recherche associés afin que la kinésithérapie puisse enfin produire elle même le contenu scientifique nécessaire pour mettre en évidence l'intêret de notre profession ainsi que les économies qu'elle permet de réaliser à notre système de santé.

Alizé se revendique comme une force de proposition dont les positions et réflexions ont été un des moteurs de l'évolution de l’ordre ainsi que l’amélioration de son adaptation à la réalité de la profession. 

De par son statut, Alizé dénonce les intérêts individuels ou collectifs  qui se font au détriment de la masso-kinésithérapie.

L’un des principes d’Alizé est d’obtenir le non-cumul des mandats. Ainsi, pour garantir l’indépendance intellectuelle morale et financière, un élu ne devrait pas pouvoir cumuler de mandats aux différents niveaux de l'ordre, ainsi qu'un mandat ordinal avec un mandat au sein des Union Régionales des Professionnels de Santé (URPS).
Alizé est une organisation totalement bénévole. Ainsi, l’ensemble de ses membres ne perçoivent aucune indemnité syndicale. Ceci a pour objectif de garantir une totale transparence quant aux intentions et la qualité de vos interlocuteurs, chaque membre est au contact de la réalité du terrain et n’a qu’un seul objectif, la défense de la masso-kinésithérapie.


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NOS PRINCIPALES PROPOSITIONS

Quelles sont les principales revendications de mon syndicat?

Le master 2 ne doit être qu’une étape, pour que notre profession puisse s’émanciper, être responsable de ses contenus de formation, et accéder à la recherche universitaire  : la création d’une nouvelle filière universitaire est incontournable.

De plus nous estimons que tant que la formation ne sera pas dispensée par l’université et que les frais de scolarité ne seront pas ramenés au même niveau que ceux des autres étudiants, la mise en place d’une restriction d’installation serait une mesure injuste.

C’est une mesure d’efficience économique qui fera gagner du temps dans la prise en charge du patient et éviter un passage à la chronicité. Cependant de nouvelles responsabilités impliquent de nouvelles compétences.

Pour la sécurité du patient et du Kinésithérapeute cette avancée implique un complément de formation pour être en mesure de s’abstenir dans les cas où l’état du patient relève de la médecine et pas de la kinésithérapie (reds flags).

La proposition précédente pourrait être complétée par la possibilité pour le Kinésithérapeute, après un complément de formation adapté, de prescrire des examens d’imagerie médicale dans un certain nombre de situations définies. Le but étant encore une fois de limiter les navettes entre les différents intervenants.

Le nombre de places ouvertes au titre de la formation en kinésithérapie devrait être adapté aux besoins en kinésithérapeutes sur le territoire.

Bon nombre de services hospitaliers font appel à des Kinésithérapeutes formés à l’étranger ou à des professeurs d’APA.

Un numerus clausus si faible crée une injustice en rendant plus difficile l’accès à notre profession pour des bacheliers français que pour des bacheliers de l’union européenne.

L’offre de soins en kinésithérapie sur le territoire souffre d’une grande disparité. Nous demandons la possibilité pour les communes/départements/Régions sous dotés de pouvoir prendre en charge les frais de scolarité d’étudiants en contrepartie d’un contrat d’exercice de 3 à 5 ans dans le bassin de vie en question.

Cette proposition permet à la fois d’apporter une réponse à la désaffection des nouveaux kinés pour ces bassins de vie et de permettre à des étudiants qui n’en auraient pas eu la possibilité d’accéder à ces études.

Si la valeur de l’amk avait suivi l’évolution du smic depuis 2001 (6,67 € brut/h contre 9,67 aujourd’hui) il serait aujourd'hui à 2,96 € au lieu de 2,15 €.

En 15 ans notre pouvoir d’achat s’est effondré de 37%.

La nomenclature actuelle est éminemment complexe et source de conflit entre les kinésithérapeutes et les caisses du fait de la possibilité d'interprétations différentes. Nous proposons une simplification de la nomenclature avec un acte unique revalorisé :

acte unique simple : AMK 10 (durée environ 30 minutes)
acte unique complexe : AMK 15,5 (durée environ 45 minutes)
acte kinésithérapique en urgence (introduit par la loi de santé) : AMK 15,5 (Bilan + Traitement : env. 45 minutes)

La revalorisation se situe au niveau de la cotation en partant de la valeur de la lettre clé actuelle, soit 2,15 €. En parallèle de cette revalorisation nous demandons qu’à l’avenir la valeur de l’amk soit indexée sur le coût de la vie.

Par ailleurs nous réclamons une lettre clé de déplacement unique quelle que soit la pathologie d’un montant de 5,42 € ( = indemnités de déplacement des médecins x(revenu moyen des kinés/revenu moyen des médecins).

Par ailleurs, nous revendiquons la possibilité de facturer un bilan initial, un bilan de fin de traitement et si la durée de prise en charge le nécessite des bilans intermédiaires selon la périodicité actuellement en vigueur.

La codification permettant à la CPAM de connaitre la nature de l’acte fera partie du bilan initial et dissocier de la facturation des actes.

Nous nous opposons à la mise en place du tiers payant généralisé et obligatoire qui entre en contradiction avec le principe d’indépendance du praticien envers l’organisme financeur. Les kinésithérapeutes pratiquent déjà le tiers-payant dans les cas où la situation financière du patient l’exige.

Nous nous opposons fermement à la politique qui consiste à transférer le remboursement des soins vers les mutuelles ainsi qu’au développement des réseaux de soins mutualistes.

Cela aboutira à une approche du soin uniquement comptable qui se fera au détriment de la qualité des soins délivrés aux patients. Les professionnels de santé doivent rester maitres de leurs choix thérapeutiques.

Afin d’éviter de concentrer les pouvoirs entre un nombre de mains réduites et dans le but d’assurer la plus grande disponibilité des élus dans l’exercice de leur mandat nous militons pour la mise en place d’une interdiction de cumuler plusieurs mandats ordinaux ou de cumuler un mandat ordinal et un mandat Urps.

Afin de garantir du bon usage des cotisations des Kinésithérapeutes, les comptes détaillés des différents niveaux de l’ordre et des différentes URPS seront accessibles sur simple demande de n’importe quel kinésithérapeute.

Une révalorisation des grilles indiciaires pour une meilleure attractivité, une reconnaissance des spécifités et de l'aide au tutorat des etudiants en IFMK. Nous soutenons le livre blanc de la kinésithérapie. 

Les MK ayant la double compétence restent des professionnels de santé et ils sont libres de pratiquer dans le cadre de leur compétence.

LES MEMBRES DU BUREAU NATIONAL

François Randazzo

Président

Diplomé 2004 Master 1 (Belgique) - Libéral à Saint Laurent du Var (Alpes Maritimes 06) - Secrétaire général URPS MK PACA

Romain Besombes

Vice-président

Diplômé 2010 Master 1 kiné (Belgique) - Libéral à Montpellier (Hérault 34) - Élu URPS Occitanie

Caroline Vicaigne

Secrétaire Générale

Diplomée 2010 Master 1 (Belgique) - Exercice libéral à Bordeaux (33) - Elue URPS Nouvelle Aquitaine

Ludovic Brayé

Secrétaire Général Adjoint

DE 2009 - Libéral à Mulhouse (Haut-Rhin 68) - Vice-président URPS MK Grand-Est

Marie-Aude Schmuckel

Secrétaire Générale Adjointe

DE 2005 - Libéral à Paris (75) - Élue URPS MK Île-de-France

Pierre-Antoine Gau

Trésorier

DE 2006 - Exercice mixte à Cannes (Alpes Maritimes 06) - Elu URPS MK PACA

Laetitia Rolleri

Trésorière Adjointe

DE 2009 (EFOM) - Libéral à Paris (75) - Élue URPS MK Île de France

LES AUTRES MEMBRES DU CA

Jérôme Alaphilippe

Libéral à Saint-Bon-Tarentaise (73) - Secrétaire général URPS MK Auvergne-Rhône-Alpes

Jonathan Bonnet

DE 2016 - Salarié à Saintes (Charente-Maritime 17)

Frederic Secchi

DE 1988 - Libéral à Champigny (Yonne 89) - Membre du CA de la CARPIMKO

Michel Fantou

Libéral à Montreuil (93) - Membre fondateur d'Alizé

Vincent Gensac

Libéral à Toulon (83) - Élu URPS MK PACA

Yasmina Krawczyk

Master 1 en kinésithérapie (Belgique) - Libérale à Rosult (59) - Élue URPS Hauts-de-France

Stéphanie Carcenac

DE - Libérale à Saint Laurent du var (06) - Élue URPS MKL PACA

François-Adrien Mutel

Libéral à Hindisheim (67) - Élu URPS Grand Est

NOTRE HISTOIRE

Voila aujourd'hui dix ans qu’Alizé vient bousculer le microcosme de la kinésithérapie avec une idée simple : un syndicat ne doit pas penser à la place des personnes qu’il représente. C’est déjà ce principe qui a été à l’origine de la création d’Alizé en mars 2008 en réponse à la création de l’ordre des kinésithérapeutes. On ne peut que regretter que cette création se soit faite sans que l’ensemble des masseurs-kinésithérapeutes ne soient consultés et il est permis d’imaginer que les choses se seraient passées différemment si cela avait été le cas. C’est pendant la protestation qui a suivi l’envoi des premiers courriers d’inscription à l’ordre que se sont rencontrés Didier Lantz, salarié, et Michel Fantou, libéral. Insatisfaits de l’offre syndicale existante ils s’accordèrent, rejoints par Claude Richet et Didier Miranda, pour créer un syndicat qui réunirait libéraux et salariés dans le but de faire évoluer la kinésithérapie autrement. C’est ainsi que le 28 mars 2008 naissait officiellement Alizé. On a longtemps voulu réduire Alizé à un rôle d’opposition stérile à l’ordre alors que, dès 2008, Alizé a été force de propositions, en suggérant une organisation inspirée du modèle de l’ordre des pharmaciens et constituée de collèges séparés, plus à même de représenter la diversité d’exercice de notre profession. Aujourd'hui encore Alizé s’inscrit dans une démarche constructive et s’il reste encore de nombreux points sur lesquels l’ordre doit évoluer et pour lesquels nous ne manquerons pas d’émettre des propositions, il est nécessaire d’admettre que l’évolution que l’on a pu observer notamment au niveau national est plutôt positive. Mais les centres d’intérêts sur lesquels Alizé focalise son attention ont fortement évolué, nous travaillons au quotidien à analyser l’évolution du cadre légal, technique et scientifique de notre profession afin d’informer au mieux les kinésithérapeutes et d’influer les orientations futures de notre profession et plus largement de la santé en France. Alizé vous propose une nouvelle approche du syndicalisme. Un syndicalisme en phase avec l’évolution des moyens de communication actuels, un syndicalisme animé par ces mêmes valeurs qui font cruellement défaut à la représentation de notre profession : la démocratie participative, l’engagement de ne se consacrer qu’à un seul mandat électif ainsi que l’engagement de garder majoritaire la part du temps consacré à la pratique de la profession.

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